Une recherche participative

  Le collectif de recherche veut lui-même fonctionner dans l’alternative au capitalisme universitaire  (= manière dont les universités publiques ont répondu aux injonctions néolibérales qui visaient à considérer les politiques de l’enseignement supérieur comme un sous-ensemble de la politique économique (Slaughter & Leslie, 2001, p. 154))

Entre chercheur·es : nous essayons de tendre vers une gouvernance partagée avec une coordination en trinôme, une organisation autonome par thèmes en groupe de travail, la participation minimale requise pour le recueil de données, des réunions bi-mensuelles, l’intégration de chercheur·es juniors, etc. Notre gouvernance et nos règles de coordination sont travaillées grâce à l’accompagnement par une SCIC en intelligence collective, les Maisons de l'Intelligence Collective (MIC).

Entre acteur·rices : des comités de pilotage sont organisés tous les 3 mois et nous envisageons le projet sous la forme d'un accompagnement régulier et sur mesure selon les besoins de nos partenaires. Nous organisons des échanges de pratiques entre partenaires avec l'appui des chercheur·es, des points théoriques, des ateliers et des animations sur leurs évènements (AG par exemple), etc. Les livrables sont co-construits et pensés pour être utiles aux acteur·rices (rapport de capitalisation, podcasts, vidéos, ateliers de diffusion des résultats de la recherche sur la lutte contre la dégénérescence démocratique…).